| | | « You can't break a broken heart » || Miss Campbell |  |
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Celia S. Campbell
Messages : 22
Date d'inscription : 22/08/2009
| | | | | Celia S. Campbell
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| | Sujet: Re: « You can't break a broken heart » || Miss Campbell Sam 22 Aoû - 15:51 | |
| Your Life
Chapter 1 : Once upon a time...
Nathan Campbell était un homme d'affaire anglais de vingt-trois ans lorsqu'il estima avoir rencontré celle avec qui il partagerait le reste de sa vie. Il fut envoyé dans la capitale française, Paris et c'est là qu'il la rencontra. Gabrielle, une française d'origine espagnole, n'avait que dix-neuf ans et elle étudiait dans le but de devenir institutrice. Pourtant, il ne pu s'empêcher de tomber rapidement sous son charme et de la courtiser. Ils sortirent rapidement ensemble et finirent par se marier, sept ans plus tard.
Vous vous demandez pourquoi je vous raconte ceci ? Faîte un peu marcher votre tête. Le nom "Campbell" ne vous dit rien ? Oui, c'est bien le nom que je porte. Ce que je viens de vous narrez est l'histoire de mes parents. Lorsque ceux-ci se marièrent, ma mère était déjà enceinte de quatre mois. Je suis donc venue au monde un peu moins de cinq mois plus tard, bien que j'ai faillit mourir juste après ma naissance. Effectivement, je suis née prématurément et donc j'ai eu quelques problèmes pendant les quelques semaines qui ont suivit ma naissance. Mais à cette époque déjà, j'étais une véritable battante et j'ai survécu à tout ceci.
Dans mon enfance, ce qui me manquait le plus était la présence de mon père. Bien qu'il travaillait à présent dans une société française, il passait toujours autant de temps à l'étranger à cause de son travail. Alors que je grandissais tranquillement, mon père était toujours à l'autre bout du monde, aux États-Unis la plupart du temps. Heureusement, ma mère savait s'occuper de moi. Ayant été institutrice, c'était normal qu'elle sache s'y prendre. Elle avait cependant arrêté de travailler avant ma naissance afin de se consacrer totalement à sa vie de famille, pensant qu'elle ne pouvait pas concilier travail et famille.
Lorsque j'eu 3 ans et demi, on m'offrit un petit frère; Nathanaël Julian Campbell. D'aussi loin que je me souvienne, nous avons toujours été extrêmement proches l'un de l'autre. En fait, je le considérais plus comme un ami que comme un frère. Il était un peu comme mon confident. Bon, bien sûr il nous arrivait souvent de nous disputer et on en venait parfois au poings mais nous étions presque inséparables.
A mes huit ans, il se passa quelque chose d'étrange. J'étais dans ma chambre et j'essayais de prendre une peluche que ma mère avait posé au dessus de mon armoire. J'avais beau monter sur une chaise, je n'arrivais pas à l'atteindre. Cette peluche, je souhaitais réussir à la prendre du plus profond de mon cœur. A l'époque je n'ai pas vraiment compris comment cela s'est produit, mais la peluche s'est mise à léviter et elle m'est venue dans les bras. C'était la première fois que je faisais usage de magie. Je me souviens m'être empressée d'aller le raconter à ma mère, qui bien sûr, ne m'a pas crue. Oui, car mes parents étaient tous les deux des moldus. Je suis ce que certains appellent parfois vulgairement une "Sang-de-Bourbe". Enfin bon, ce n'est qu'un détail pour moi, revenons-en à ma mère. Elle me regarda en souriant, et me répondit simplement :
- Tu as vraiment une imagination débordante, Celia.
J'ai fini me convaincre qu'elle avait raison, que j'avais du faire bouger l'armoire et que ce n'était que du hasard si la peluche m'était tombée dans les bras. Mais j'étais bien loin de la vérité.
En effet, a mes dix ans je reçu une lettre d'une école nommée Beauxbâtons. Mes parents étaient abasourdis : ils s'agissait d'une école de sorcellerie, située près de Canne dans laquelle j'allais passer sept ans à étudier la magie.
Je me révélais être une élève assez douée. Née dans un monde où la magie n'existait pas, j'étais passionnée par mes études et je passais tout mon temps à étudier. A cette époque, j'étais le portrait type de l'intello. Une jeune fille timide, taciturne tout le temps plongée dans un bouquin. J'étais plutôt sérieuse, pas vraiment le type de personne qui avait beaucoup d'amis. Les amis que j'avais me suffisaient. Tant que je n'étais pas seule, ça allait.
Je me démarquais particulièrement en botanique, une branche qui m'a toujours intéressée. Petite, je m'occupais de mon jardin avec ma mère et j'adorais cela. Les plantes du monde magique étaient encore plus intéressantes, plus captivantes. Mon professeur m'avait d'ailleurs toujours dit que j'étais une excellente élève dans cette matière-là. Inutile de vous dire que c'était dans cette branche que je souhaitais travailler plus tard.
Dernière édition par Celia S. Campbell le Sam 22 Aoû - 16:40, édité 2 fois | |
| | | | Celia S. Campbell
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| | Sujet: Re: « You can't break a broken heart » || Miss Campbell Sam 22 Aoû - 15:51 | |
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Chapter 2 : Life in England
A la fin de mes études, je souhaitais devenir professeur de botanique. On me refusa cependant le poste. Je n'avais que dix-sept ans; ils me considéraient trop jeune pour ce poste. On me proposa cependant de revenir lorsque je serais plus âgée, quelque chose que je comptais bien entendu faire.
Je réfléchis donc pour trouver quelque chose à faire, puis je décidais finalement de partir m'installer en Angleterre. Amélie, ma meilleure amie depuis ma première année à Beauxbâtons avait trouvé un travail là-bas et m'avait proposé de venir m'installer chez elle, pensant que je trouverais peut-être un travail là-bas. Et effectivement, j'en trouvais un. On m'engagea comme journaliste dans un journal nommé la Gazette du Sorcier. Je travaillais dans la rubrique Quidditch, ce qui me plu énormément, sachant que j'adorais ce sport et que je faisais partie d'une équipe lors de mes études.
Mon déménagement à Londres me changea énormément. Je n'étais plus l'étudiante coincée de Beauxbâtons. J'étais devenue une jeune femme fofolle, toujours partante pour faire la fête. J'aimais rire, déconner. Rien que le fait d'être envie me rendait joyeuse. Optimiste, je voyais la vie du bon côté et je ne me prenais pas au sérieux. J'étais un peu originale, certes. Rancunière, susceptible et orgueilleuse aussi. Mais que voulez-vous, tout le monde ne peut pas être parfait.
A cette époque-là, je rencontrais James. Un sorcier très sympathique, dont je m'entichais rapidement. Dès notre rencontre, je m'imaginais qu'entre lui et moi, il se passerait la même chose qu'entre mes parents. Qu'on allait rapidement sortir ensemble et que ça finirait par un mariage. J'étais folle de lui pour tout vous dire et j'espérais que ça soit réciproque. Ce qui devait arriver arriva : nous nous sommes embrassés et sommes sortis ensemble. Au bout de cinq ans de relation - j'avais maintenant 22 ans - il me demanda en mariage. Je me souviens de toute la joie que j'ai ressentie à cette époque là. James, je l'aimais vraiment du plus profond de mon cœur, comme je n'avais encore aimé personne. Pour moi, James était mon âme soeur, celui au près du quel j'aurais aimé rester tout ma vie. Jamais je n'avais été autant heureuse. Et pourtant, je ne me doutais pas de ce qui allait se passer. Jamais je n'aurais pensé que ceci puisse m'arriver.
Je fut envoyée en Bulgarie pour faire un article sur leur équipe de Quidditch. Le voyage devait durer dix jours, mais je me débrouillais pour boucler le travail rapidement et rentrer à Londres une semaine après mon départ. Je me souviendrais toujours de cette journée, qui a également modifié certaines facettes de ma personnalité. En arrivant à Londres, je pensais rentrer chez Amélie - où j'habitais encore - poser mes affaires pour ensuite partir voir James. Je n'en eut pas besoin; j'eus la surprise de trouver James chez moi. Je vous explique : voyant que la porte est ouverte, j'entre chez Amélie. Des vêtements gisaient sur le sol. Pensant qu'Amélie est dans sa chambre avec un garçon rencontré un soir, je continue d'avancer. Sauf que ce n'était pas du tout le cas. Lorsque j'entrais dans le salon, je vis James, nu, couché sur le canapé. Au-dessous se trouvait ma prétendue meilleure amie, Amélie. Le monde semblait s'écrouler autour de moi. Mon monde si parfait perdait tout son sens. Ca me semblait tellement irréel, tellement improbable... Et pourtant, cela s'était bel et bien produit.
- Que... Qu'est-ce que vous faîtes ?
J'avais eu du mal à reprendre mes esprits, puis à parler. On pouvait entendre de la tristesse, de l'étonnement dans ma voix tremblante. James et Amélie se rendirent enfin compte de ma présence. Tous les deux se séparèrent et semblèrent chercher leurs vêtements. Une fois qu'Amélie eut enfilé un T-shirt, elle s'approcha de moi et posa sa main sur mon épaule, une main que je rejetais.
- Pourquoi tu... Amélie, tu es ma meilleure amie ! Tu n'as pas pu !
- Je ne sais pas ce qui nous est arrivé, vraiment. Je...
- Tu sais quoi ? Laisse tomber. Je... Je m'en vais. Je retourne à Paris. James, tu peux reprendre ça.
Je me tournais vers lui, et je lui lançais l'alliance que je portais au doigt. Sans prendre la peine de rajouter un mot en plus, je me tournais et quittai l'appartement, sans prêter attentions à Amélie et à James, qui me priaient de revenir.
Dernière édition par Celia S. Campbell le Sam 22 Aoû - 17:40, édité 4 fois | |
| | | | Celia S. Campbell
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| | Sujet: Re: « You can't break a broken heart » || Miss Campbell Sam 22 Aoû - 15:52 | |
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Chapter 3: Don't forget your dream
Arrivée à Paris, ma mère m'accueillit à bras ouvert. Je ne sais pas combien de temps je restais à pleurer dans ses bras, écoutant ses paroles réconfortantes, comme si j'étais une gamine de quinze ans qui venait de subir son premier chagrin d'amour. Lorsque mon frère rentrait, il fut également surpris de me voir là et surtout dans cet état. Il me demanda ce qu'il se passait, et quand je lui racontais, il me demanda directement si je voulais qu'il aille lui "casser la gueule", ce qui me fit rire. Mon frère, ce petit homme protecteur que j'aimais tant, était toujours là pour moi, pour me soutenir.
Il y eut quand même un point positif dans cette histoire. Je suis moins naïve, moins rêveuse. En gros, je suis plus terre-à-terre et moins fonceuse. Mais je n'ai rien perdu de ma bonne humeur, je suis toujours prête à faire la fête à la moindre occasion. Des points négatifs par contre, il y en eu des tonnes. Je faisais moins confiance aux gens à présent et je ne croyais plus en l'amour. J'avais perdu ma meilleure amie, mon fiancé et j'avais démissionner de mon travail. En fait, j'étais retournée à une existence complètement banale. Je ressemblais maintenant à une jeune femme moldue. Du moment où je suis revenue à Paris, j'avais arrêté de faire usage de la magie et je travaillais dans le magasin que ma mère avait ouvert au dessous de notre appartement pour la remercier de m'héberger. D'ailleurs, je n'avais aucune idée de ce que j'allais faire de ma vie. Je n'avais plus pensé à mon souhait de devenir professeur de botanique. Il était soigneusement rangé dans un tiroir de mon esprit en attendant de se manifester.
Et il se manifesta. Bien que je ne fasse plus usage de magie, je continuais à m'informer grâce à la Gazette du Sorcier, que l'on m'envoyait jusqu'à Paris. Et un jour, on annonça que la célèbre école de sorcellerie, Poudlard, rouvrait ses portes et qu'ils cherchaient donc de nouveaux professeurs. Le soir même, ma valise était prête. J'allais retourner à Londres, essayer d'avoir ce poste que j'avais toujours désiré.
Je passais l'entretiens d'embauche, je leur montrais mon bulletin de notes - avec des notes parfaites en botanique, et ils me dirent qu'ils m'enverraient un hibou lorsqu'ils auraient pris leur décision. Je retournais donc à Londres et ce que je redoutais arriva. La ville était immense et il y avait vraiment peu de chance que je croise James ou Amélie. Et pourtant si, je les vis. Heureusement, eux ne me virent pas. Ils m'avaient envoyé tant de lettres lorsque j'étais en France. Des lettres que j'avais jeté après avoir lu, sans jamais leur répondre. Je n'étais toujours pas prête à leur pardonner et à les voir, c'était trop récent. Peut-être un jour irais-je vers eux moi-même.
Quoi qu'il en soit, on m'accepta dans le poste de professeur de botanique à Poudlard, un poste que je compte bien garder le plus longtemps possible.
Dernière édition par Celia S. Campbell le Sam 22 Aoû - 17:44, édité 1 fois | |
| | | | Celia S. Campbell
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| | | | | Javen E. Krimbel
I'm not crazy, I'm just fond of you
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Le sorcier que tu es
Crédit Avatar: Opium
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Rumeurs...:
| | | | | Celia S. Campbell
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| | | | | Erwan N. Price
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| | Sujet: Re: « You can't break a broken heart » || Miss Campbell Dim 23 Aoû - 11:56 | |
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